Interactions liées au principe actif : ATORVASTATINE
Risque de diminution très importante des concentrations de l'atorvastatine, et perte d‘efficacité, par augmentation de son métabolisme hépatique par l’apalutamide.
Utiliser des doses plus faibles d’hypocholestérolémiant ou une autre statine non concernée par ce type d’interaction. Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse, par diminution du métabolisme hépatique de l'hypocholestérolémiant.
Ne pas dépasser la posologie de 10mg/jour d'atorvastatine. Si l'objectif thérapeutique n'est pas atteint à cette posologie, utiliser une autre statine non concernée par ce type d'interaction. Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse (diminution du métabolisme de l'hypocholestérolémiant).
Utiliser des doses plus faibles d'hypocholestérolémiant. Si l'objectif thérapeutique n'est pas atteint, utiliser une autre statine non concernée par ce type d'interaction. Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse, par diminution du métabolisme hépatique de l'hypocholesterolémiant.
Utiliser des doses plus faibles d’hypocholestérolémiant ou une autre statine non concernée par ce type d’interaction. Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse, par diminution du métabolisme hépatique de l'hypocholestérolémiant.
Utiliser des doses plus faibles d'hypocholestérolémiant. Si l'objectif thérapeutique n'est pas atteint, utiliser une autre statine non concernée par ce type d'interaction. Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse, par diminution du métabolisme hépatique de l'hypocholesterolémiant.
Utiliser des doses plus faibles de l'hypocholestérolémiant. Si l'objectif thérapeutique n'est pas atteint, utiliser une autre statine non concernée par ce type d'interaction. Risque majoré d'effets indésirables concentration-dépendants à type de rhabdomyolyse (diminution du métabolisme hépatique de la statine).
Augmentation importante des concentrations plasmatiques d’atorvastatine par la bithérapie, avec risque majoré d’effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyses.
Utiliser des doses plus faibles d'atorvastatine. Si l'objectif thérapeutique n'est pas atteint, utiliser une autre statine non concernée par ce type d'interaction. Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse (diminution du métabolisme hépatique de l'atorvastatine).
Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse (diminution du métabolisme hépatique de l'atorvastatine).
Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse (diminution du métabolisme hépatique de l'atorvastatine).
Augmentation des concentrations plasmatiques de l'atorvastatine par diminution de son métabolisme hépatique par la bithérapie.
Augmentation des concentrations plasmatiques de l'hypolipémiant, avec risque de survenue d'effets indésirables, notamment musculaires.
Surveillance clinique et biologique étroite pendant l’association. Risque d’augmentation des concentrations plasmatiques de l'atrovastatine par augmentation de son absorption intestinale par le ponatinib.
Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse (diminution du métabolisme hépatique de l’inhibiteur de l’HMG-CoA reductase).
Utiliser des doses plus faibles d’hypocholestérolémiant ou une autre statine non concernée par ce type d’interaction. Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse par inhibition du métabolisme de l'atorvastatine par la ranolazine.
Diminution très importante des concentrations plasmatiques d'atorvastatine, par augmentation de son métabolisme hépatique par la rifampicine.
Utiliser des doses plus faibles d’hypocholestérolémiant. Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse.
Risque majoré d’effets indésirables (dose-dépendants) à type de rhabdomyolyse (diminution du métabolisme hépatique de l’hypocholestérolémiant).
Risque majoré d’effets indésirables (dose-dépendants) à type de rhabdomyolyse (diminution du métabolisme hépatique de l’hypocholestérolémiant).
Utiliser des doses plus faibles d'hypocholestérolémiant. Si l'objectif thérapeutique n'est pas atteint, utiliser une autre statine non concernée par ce type d'interaction. Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse, par diminution du métabolisme hépatique de l'hypocholestérolémiant.
Interactions liées au groupe thérapeutique : INHIBITEURS DE L'HMG-COA REDUCTASE (STATINES)
Arrêter le traitement par l'inhibiteur de l'HMG Co-A réductase avant d'initier un traitement par acide fusidique ou utiliser un autre antibiotique. Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse.
Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'antivitamine K. Augmentation de l'effet de l'antivitamine K et du risque hémorragique.
Risque majoré de rhabdomyolyse.
Surveillance clinique et biologique, notamment au début de l'association. Risque de majoration des effets indésirables musculaires de ces substances, et notamment de rhabdomyolyse.
Si l’association ne peut être évitée, renforcer la surveillance biologique (dosage des CPK plus d’une fois par semaine) et surveillance clinique étroite. Risque d’addition des effets indésirables (dose-dépendant) à type de rhabdomyolyse.
Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de la statine. Risque de majoration de la toxicité des statines, par inhibition de leur recapture hépatique.
L'association d'un fibrate et d'une statine est au minmum déconseillée. La contre-indication s'applique : - entre le gemfibrozil et la simvastatine - pour des doses de rosuvastatine de 40 mg. Risque d'addition d'effets indésirables (dose-dépendants) à type de rhabdomyolyse. En outre, avec le gemfibrozil, diminution du métabolisme de la simvastatine et de la rosuvastatine, ce qui majore le risque musculaire, ainsi que la néphrotoxicité de la rosuvastatine.
Le contrôle régulier de la fonction rénale et le strict respect des doses sont impératifs. Possibilité de survenue d’effets indésirables musculaires à l’introduction d’une gliptine, malgré le traitement antérieur par statine bien toléré.
Surveillance clinique et biologique pendant l’association. La dose de statine ne doit pas dépasser 20 mg par jour (10 mg avec la rosuvastatine). Augmentation des concentrations plasmatiques de l’hypochlestérolémiant par augmentation de son absorption intestinale.
avec la rosuvastatine. Risque d’augmentation des concentrations plasmatiques de la statine et de ses effets indésirables à type de rhabdomyolyse.
Renforcer le contrôle clinique et biologique, notamment durant les premières semaines de traitement. Risque majoré de survenue de rhabdomyolyses.
en cas d’utilisation du létermovir seul: - ne pas dépasser 20 mg/ jour d’atorvastatine - adaptation éventuelle de la posologie de fluvastatine et de pravastatine. Risque d’augmentation des concentrations plasmatiques de la statine et de ses effets indésirables à type de rhabdomyolyse.
Surveillance clinique et adaptation de la posologie de la statine pendant le traitement par roxadustat. Augmentation d’un facteur 2 à 3 de l’exposition de la statine, par diminution de son métabolisme par le roxadustat.